
Très loin de vouloir se substituer à quiconque, le principe même d’une fédération est d’être un support, une plateforme au service d’associations, de structures, de particuliers qui ont leur identité propre, leur perception propre, leur autonomie, leur stratégie, mais qui se retrouvent pour des sujets majeurs.
La seule règle est de se retrouver sur des principes fondamentaux concernant le bien-être animal, la médiation animale, l’éthique financière, la solidarité.
Nous souhaitons un outil fort, qui soit un interlocuteur crédible, défendant le collectif, sans intérêt personnel. Nos contacts avec les ministères et les services de l’État nous prouvent la nécessité d’un interlocuteur habitué aux rouages, aux pratiques, mais aussi indépendant par rapport aux intérêts individuels.
Quand des contacts se nouent, avec l’Unesco par exemple, c’est toute la filière qui doit en bénéficier, comme elle doit être informée de l’avancée des travaux sur les problèmes d’importations ou de quarantaine pour les grands camélidés. Quand il s’agira de recueillir l’expérience de chacun pour un guide des bonnes pratiques ,cela peut être aussi le rôle de cette fédération.