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Programme prévisionnel pour le deuxième salon international du dromadaire et des camélidés.
Un programme spécifique pour les « petits camélidés » sera établi par l’association française des lamas et alpagas.
Pour les « bossus » :
“Savoir-faire”
A cet effet, nous souhaitons faire venir des propriétaires et leurs animaux de plusieurs points de l’Hexagone, mais aussi d’Allemagne, d’Autriche, de Belgique et de différents pays européens, chacun pouvant faire des démonstrations, pédagogie auprès du public, spécificités vétérinaires… et ne pas limiter les camélidés à une présence.
Conférences sur les destinations, les opportunités touristiques en France, en Europe et dans le monde.
Conférences sur toutes les facettes, de la reproduction à l’utilisation, l’histoire, la culture, les aspects vétérinaires, mais aussi les perspectives en tant que médicaments , les traditions nomades…
La première édition nous a montré combien le public était avide de connaissances et partages.
Ce doit être aussi un lieu d’échanges et de rencontres avec tous les passionnés venus de tous horizons.
Notre ambition est de pouvoir prendre en charge le transport et l’accueil des animaux.
Développement économique
L’Allemagne, l’Autriche, l’Estonie, la Lituanie, la Belgique se sont lancés dans la « production », en particulier le lait, de fabrication de savon et de produits dérivés. Dans ce secteur, certaines fermes allemandes viennent d’obtenir le droit de commercialiser les produits laitiers en grande distribution.
l’idée est là encore de pouvoir promouvoir et soutenir tous ceux qui ont un axe économique autour des chameaux et dromadaires, depuis le tourisme, jusqu’à l’entretien des espaces en passant par l’agro-alimentaire, mais aussi la médiation animale.
Le fonctionnement des échanges avec les chambres d’agriculture, de commerce et d’artisanat doit être amplifié. Il faut créer un lieu de partages qui ne peut se limiter à un déjeuner, comme durant la première édition, mais à des réunions de travail, à noter que les développements et les contacts pris lors de l’édition précédente semblent nous assurer la collaboration des chambres consulaires, du département et de la région.
Nous remercions les services de l’Etat, les ministères, de leur écoute attentive et bienveillante.
Concours de beauté
L’idée est de créer un concours de beauté du plus beau dromadaire européen.
Ce serait une aide à la reproduction et à la sélection, pour cela, même si le niveau est limité par rapport aux splendeurs des chameaux de l’autre côté de la méditerranée, nous avons donc sollicité la venue de juges qualifiés.
Ce concours constituerait une forte émulation entre éleveurs existants et permettrait une pédagogie sur l’esthétique des dromadaires et leurs critères, peu connus dans les critères concernant les dromadaires européens.
C’est sans aucun doute le point difficile par rapport à la première édition, nous proposerons des courses, à l’unique condition de présenter un évènement qui donne une réelle idée de ce que sont ces courses. Pour une première édition, ce qui a été présenté était un apéritif, excusable, mais insuffisant.
Quand on voit une course en Arabie Saoudite, on comprend qu’il faut remonter la hausse.
De plus, le public européen est très sensible à la protection des animaux, et à la présence d’anneaux dans le nez des chameaux. Ce point ne nous parait pas valorisant pour l’image de la manifestation et est donc à proscrire.
C’est pourquoi nous organiserons des courses si nous trouvons des partenaires capables d’assurer des courses dans des conditions compatibles avec l’image du reste de la manifestation.
Cultures nomades
En 2020 l’Unesco devait annoncer l’ouverture de l’Année des cultures nomades, la Covid l’a retardée.
Néanmoins le volet, ethnologie, artisanat et voyages que peut permettre de développer cet axe nous pousse à relancer tous les partenariats sur le sujet, notre ambition est d’aller des rives de l’Atlantique jusqu’aux confins de la Mongolie.
Ce programme est formidablement ambitieux. Il dépend de chacun d’être une pierre de l’édifice, nous avons désormais un peu d’expérience, la logistique à disposition de ce projet, c’est a chacun d’entre nous, d’entre vous, de « mettre de la viande autour de l’os ».
Nous on y croit, on est heureux de faire, mais seuls, on n’est rien.
Nous n’avons pas besoin de faire notre promotion, ni personnelle, ni collective, cela fait trois décennies que nous apprenons que la réussite elle se fait, ensemble, au bénéfice de tous.
Nous allons nous battre pour trouver des sous, pour que la logistique suive, car notre préalable est que nous puissions vous réunir. Nous recherchons tous les partenariats possibles.
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LE vendredi, à la veille du salon, deux réunions distinctes :
Nous devrions accueillir une rencontre à thématiques entre les membres de l’AFLA,(Association Française des Lamas et Alpagas)
et
l’assemblée générale de la FFCDFE (Fédération Française pour le Développement des Camélidés en France et en Europe) en présence de membres de la fédération européenne et d’hôtes étrangers.